BE FAIR BE VEGAN, NYC

SEPTEMBER 2016

NOUS RÉCLAMONS LA FIN DE TOUTE EXPLOITATION DES ANIMAUX

Une campagne d’affichage haute visibilité mettant en lumière le sort des animaux exploités au bénéfice des humains se déroule du 8 août au 4 septembre à Times Square, au Javits Center et dans les rues de Manhattan, à New York.

Be Fair Be Vegan est une campagne présentant des panneaux d’affichage mobiles et des affiches de rue statiques visant à présenter au public les visages et sentiments des animaux que nous utilisons pour la nourriture, les vêtements, la recherche et le divertissement.

Pendant quatre semaines, ces diaporamas provocants seront diffusés sur deux des panneaux d’affichage les plus en vue au pays (Times Square et Javits Center), qui seront accompagnés d’une série d’affiches de rues. Le but est d’inciter les passants à considérer la réalité des victimes de l’industrie animale et à les voir pour qui ils sont : des êtres sensibles qui tiennent à leur vie.

L’esclavage des animaux est l’injustice la plus répandue et la plus acceptée socialement de tous les temps. Non seulement l’industrie animale tient en otage le monde naturel et ses habitants, en plus de nuire à la santé de notre société, mais son existence même est une violation des droits fondamentaux des individus qu’elle asservit.

Ces milliards d’êtres sensibles sont considérés par la société « civilisée » d’aujourd’hui comme de simples biens meubles, et leurs propriétaires sont légalement autorisés à leur imposer de nombreuses formes de cruauté barbare au nom du profit, de la commodité et du plaisir. En tant que consommateurs, nous pouvons reprendre le contrôle de la situation et exiger la fin de l’utilisation des animaux comme produits et ressources. Nous prônons l’adoption généralisée des valeurs véganes au nom de la totalité des victimes de l’humanité : des animaux sauvages chassés et exterminés pour laisser de la place aux ravages de l’excès humain aux animaux élevés et enfermés dans des cages ou des pâturages, puis tués pour que les gens puissent consommer les produits de leur misère.

La pandémie de violence dans le monde nous appelle à réévaluer notre relation avec les animaux non humains, qui sont victimes des formes les plus extrêmes de notre violence collective, et à reconnaître qu’ils ne sont pas plus destinés à être nos possessions que les êtres humains avec une couleur de peau différente, les femmes, les enfants ou tout autre être vivant. Les animaux aussi sont des individus qui tiennent à leur vie, ressentent la douleur, craignent la mort et ont le droit de vivre sans oppression.

 

Times Square, NYC